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Ven. 04/09 : LES PETITES BOURRETTES + 27
Ven. 04/09 : LES PETITES BOURRETTES + 27

ven. 04 sept.

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Bateau El Alamein

Ven. 04/09 : LES PETITES BOURRETTES + 27

Coplateau en famille avec LES PETITES BOURRETTES + 27

Les inscriptions sont closes
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Heure et lieu

04 sept. 2020, 19:00

Bateau El Alamein, Quai François Mauriac, 75013 Paris, France

À propos de l'événement

Au départ, c’est quatre potes de lycée et de fac puis un baeur, qui gratouillent de temps en temps et qui se disent que ça serait quand même vachement bien de faire des concerts. Alors, y’avait rien de mieux à faire que d’écrire des chansons et de

trouver un coin tranquille pour les jouer.

La rue, c’était bien la rue, au début des années 2000 pour jouer des chansons. Le plus près, c’est “Montmartre”, alors Les Petites Bourrettes squattent la “Place des Abbesses” et font copain-copain avec tout le petit monde du 18

ème.

 C’est le début de l’Euro, les gens ne savent plus compter. Les petites Bourrettes rentrent chez eux

les poches pleines et avec de quoi louer un studio pour enregistrer les chansons. Le groupe enregistre son premier album en avril 2002 en formule acoustique, basse poubelle, quelques cuivres, un harmonica et deux chanteurs. 

L’identité est posée.

Le groupe démarche avec ce premier album éponyme et met le pied sur le “Bateau El Alamein” (Paris), qui deviendra leur deuxième maison, où jouent aussi les Fatals Picards, les Blérots de R.A.V.E.L., Oldelaf et M. D

Sous le signe du 27. 27 compose sa musique et écrit comme il avance dans la vie : sans filtre, à l’instinct, en autodidacte exigeant. C’est dans cette énergie qu’il livre un premier EP personnel et vivifiant comme un coup de foudre. Il aurait pu être tenté d’avancer masqué. Éluder les dix années de scène avec le groupe “PPFC” avec lequel il se produit jusqu’en 2013. Il ne le fera pas. Car c’est avec lui qu'il a touché à quelque chose d’essentiel : l’ivresse de la scène, le pouvoir salvateur de l’écriture. Arrangé par Alexis Campet (Volo, Oldelaf), masterisé par Benjamin Joubert, l’album est placé sous le signe du 27, le chiffre fétiche de son compositeur. “L’universel de chacun est universel”, disait Ionesco. Voilà tout le miel de ces chansons qui puisent dans l’expérience, l’inspiration. L’amour sur le morceau “Si tu l’oses”, la trahison dans “Sous le Saule”, l’addiction évidemment dans “Get 27”, la gratitude de “Rendez-moi”. Six titres en tout, tels un coup d’oeil saisissant dans le rétro de la vie.

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